dimanche 15 avril 2007

A la faveur de l'automne

A la NS, alors que les épreuves du castings et du théâtre sont maintenant terminées, une chanson semble avoir marqué les esprits. Elle a été proposée par le jury aux garçons pour la sélection finale. Il s’agit de « A la faveur de l’automne » (titre de Tété), mélangeant musique pop, jazz et folk. Les différentes interprétations de cette chanson lors des éliminatoires pour Baltard ont permis à beaucoup de gens de redécouvrir ce titre magnifique.

Voici Julien :







Tété est un chanteur d’origine africaine (son père est sénégalais et Tété est né à Dakar le 25 juillet 1975, sa mère est martiniquaise).
Tété nous fait ressentir son influence très anglo-saxonne car sa mère lui fait découvrir très jeune le jazz, Bob Dylan et les Beatles.
A la fin des années 90, le jeune auteur-compositeur interprète décide de monter seul à Paris où il passe une année entière à écrire de nouveaux titres et à écumer les bars pour se frotter à un nouveau public. Tété ne tardent pas à se faire remarquer des maisons de disque.

Il sort en 1999 une première démo de quatre titres intitulée « Préambule ». Il signe en 2000 un vrai contrat avec un label et son premier album, « l’air de rien », rencontre un énorme succès. Ce sera l’excellent « A la faveur de l’automne » qui devient pour Tété, l’album de la consécration.

Tete : A la faveur de l’automne


Tété a la faveur de l'automne





Posté devant la fenêtre
Je guette
Les âmes esseulées
A la faveur de l'automne

Posté devant la fenêtre
Je regrette
De n'y avoir songé
Maintenant que tu m'abandonnes

A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie

Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies

Rivé devant le téléphone
J'attends
Que tu daignes m'appeler
Que tu te décides enfin

Toi, tes allures de garçonne
Rompiez un peu la monotonie
De mes journée de mes nuits

A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie

Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies

A la faveur de l'automne
Tu redonnes
A ma mélancolie
Ses couleurs de super-scopitone
A la faveur de l'automne

Comment ai-je pu seulement
Être aussi bête ?
On m'avait prévenu
Voici la vérité nue
Manquerait
Plus que le mauvais temps
S'y mette,
Une goutte de pluie et
J'aurais vraiment tout perdu

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